Serviette hygiénique lavable
La serviette hygiénique lavable est une alternative écologique, économique mais aussi saine pour notre corps.
Elles sont vendues à l’unité OU en lot de 5 pour un cycle de 3-4 jours et en effectuant un lavage régulier.
Fini d’acheter des protections hygiéniques qui partent à la poubelle, qui irritent ou qui sentent mauvais. Les serviettes hygiéniques lavables sont aussi efficaces seules ou en complément d’une cup.
Pas d’odeurs désagréables, pas d’irritation, idéal dans les débuts quand on utilise une cup et que la peur d’avoir des tâches nous gâchent la journée.
La serviette sera votre alliée au début et pendant vos menstruations et le jour comme la nuit.
Elles se rangent en les pliants sur elles mêmes pour être discrètement rangé. Vous pourrez transporter vos protections dans les petites pochettes imperméables que vous trouverez ici
Les matières utilisées pour la serviette hygiénique lavable :
▶ PUL étanche, en contact avec la culotte. (Attention la couleur est dorénavant noire)
▶Coton en contact avec la peau.
▶Zorb matière absorbant 10 fois son poids en 2 secondes et s’imprègne 20 fois plus rapidement que les autres matières (bambou, coton, chanvre).
Vous pouvez choisir les tissus dans les tonalités de couleurs rose, noir, bleu, gris, multicolore ou rouge.
Des tissus au choix dans le catalogue des tissus
Ou des tissus surprise.
Conseil d’entretien
Rincer à l’eau froide votre serviette hygiénique lavable (surtout pas d’eau chaude qui fixe le sang) puis mettre en machine jusqu’à 60. Ne pas utiliser d’adoucissant ou de blanchissant qui réduisent les qualités d’absorption des protections. Le séchage au soleil sera un allié. Il aide à supprimer d’éventuels tâches et il est un blanchissant naturel.
Pour info: En moyenne, une femme utilise au cours de sa vie 10 000 à 15 000 produits menstruels (serviettes, tampons, applicateurs, emballages individuels). De plus, les ingrédients toxiques contenus dans les tampons et les serviettes jetables incluent de l’aluminium, des alcools, des additifs de parfum (particulièrement irritants) et des hydrocarbures, sans oublier les pesticides. Pire encore, les procédés de blanchiment des tampons laissent des résidus de dioxine.